Pour nous, le style et la mode sont une question de contraste et peu de décennies illustrent aussi bien ce concept que les années 50. Les deux tendances de cette période s’opposent en tous points mais sont toutes deux à la pointe de la mode.
D'un côté, l'équipe de l’Ivy League, toujours tirée à quatre épingles et parfaitement irrésistible.
De l’autre, prêts à en découdre, les bad boys de Grease avec les cheveux plaqués en arrière et un style élégant.
L'équipe de l’Ivy League
Ce style BCBG nous vient directement des étudiants de prestigieuses universités américaines. Ce look à la fois classe et très recherché connotait l'intelligence et la richesse de ceux qui cherchaient toujours à impressionner et étaient dotés d'un charme tiré à quatre épingles et incomparable.
Les vêtements :Ce style n’autorise que les vêtements classes et sophistiqués. Pulls, polos, pantalons chinos et chaussures brogues avec une veste de costume plus formelle et une cravate assortie.
Les cheveux :L'équipe de l’Ivy League adopte une coiffure brillante, courte, mais surtout, bien nette. La pommade était très utilisée pour plaquer les cheveux en arrière et les faire briller, mais également pour lisser les cheveux et créer cette raie sur le côté bien marquée et mythique.
Les bad boys de Grease
Ces gars-là avaient vraiment la cool attitude, tant dans leur façon d’être que dans leur coupe de cheveux. Ils étaient vraiment les bad boys de la ville. Passionnés de motos, voitures, rock’n’roll et du mode de vie qui va avec, tout le monde les enviait. Ce style avait la cote tant auprès des stars hollywoodiennes que des ados rebelles.
Les vêtements :Ce style vestimentaire était assez simple : t-shirt blanc ou noir basique, veste en cuir, jeans resserrés à la cheville et remontés. Un style basique et sobre pour créer un effet maximal.
Les cheveux :Une chose est sûre : les coiffures de ces bad boys étaient à la hauteur de leur réputation. À l’aide d'une généreuse quantité de produit coiffant, ils optaient soit pour la coupe Pompadour, soit la ducktail, aussi connue sous le nom espiègle de « duck butt » (cul de canard). À l’époque, ces deux styles uniques se faisaient remarquer par leur caractère rebelle.